LA PANDEMIE N’EXISTE PAS !

C’est un gros mensonge d’État pour nous rendre esclaves, soumis, contrôlés, fliqués, bancarisés...

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Quand ils nous ont confinés pour notre bien, je n’ai rien dit, je n’étais pas complotiste.

Quand ils nous ont empêché de sortir, je n’ai rien fait, je n’étais pas complotiste.

Quand ils nous ont imposé le vaccin, je l’ai accepté, je n’étais pas complotiste.

Quand mes voisins l’ont refusé, je n’ai pas bougé, ils étaient complotistes.

Quand j’ai vu le complot, il ne restait plus personne pour s’opposer.

(Librement inspiré d’un texte connu)

“De Bagdad à Beyrouth, pas de chiites ni de sunnites, continuons la lutte”

Le gouvernement irakien est composé de toutes les fractions bourgeoises en Irak, et il est accepté par les forces régionales et la bourgeoisie mondiale, mais le prolétariat a essayé de le faire tomber…

La « Zone Verte » de Bagdad est le centre du capitalisme mondial, le prolétariat a essayé de l’occuper et a perdu beaucoup de vies pour cela… Le port de Bassora est un couloir mondial pour les exportations de pétrole et le commerce international et le prolétariat l’a bloqué, et il a essayé de le contrôler. La police, les forces de sécurité, les forces spéciales et les forces militaires irakiennes sont celles du capitalisme mondial (avec la participation de la bourgeoisie chiite, sunnite, chrétienne, kurde, turkmène, avec un grand nombre de forces régionales et internationales, dont des troupes américaines et européennes, turques, iraniennes, etc.), mais le prolétariat les a attaquées, ainsi que ses centres et ses détachements dans les rues et jusqu’à 650 prolétaires ont été tués par elles et plus de 20 000 blessés (sans parler du nombre d’enlèvements et d’emprisonnements…).

Le prolétariat dans toutes les régions rebelles d’Irak a incendié les sièges des partis politiques (religieux et nationaux sans exception), ils ont incendié les maisons des membres du parlement et des fonctionnaires de l’Etat et attaqué également des postes de police et des forces de sécurité, les médias, les institutions judiciaires et le ministère de la Justice, les journaux et les chaînes de télévision… En agissant de la sorte, le prolétariat attaque l’Etat dans son ensemble.

Selon le Premier ministre Adil Abd al-Mahdi, ce mouvement a détruit l’économie nationale (le capitalisme) sous tous ses aspects. Le prolétariat, dans sa lutte, a mené des attaques sans aucune exclusive, contre tous les symboles, toutes les personnes, toutes les bases, quelles qu’elles soient, attachées à l’histoire de l’autorité et de la répression, y compris les institutions militaires et diplomatiques, les centres commerciaux et les services secrets, tant internes qu’externes.

Toutes les attaques contre les forces répressives des Pasdaran dans la ville de Karbala ne sont pas vraiment anti-iraniennes comme l’ont dit les médias, mais elles font partie de l’action de classe contre les forces répressives et leurs centres sous toutes leurs formes, tout comme l’attaque contre la Zone verte et d’autres endroits.

N’est-il pas clair d’après l’action unitaire prolétarienne et ses slogans : « A bas tous les voleurs », « De Bagdad à Beyrouth, pas de chiites ni de sunnites », « Pas de pays, pas de travail, nous restons tous dans la rue », « Pas de pays, pas de travail avant la chute du système » – que le prolétariat vise la contre-révolution dans sa totalité, tout comme il le fit à Bassora en septembre 2018 !?

La bourgeoisie a toujours essayé de déformer le terrain de classe de notre mouvement révolutionnaire. Ils ont eu recours à diverses méthodes pour vider le contenu révolutionnaire de notre lutte, ils ont construit des complots et nous traitent de tous les noms. Tout cela pour dissimuler la répression sanglante et la destruction de notre mouvement révolutionnaire dans des conflits bourgeois.

Le prolétariat s’est soulevé sur le plan social contre tous les exploiteurs et il entend mettre fin à tout leur pouvoir. Le prolétariat comprend très bien que les capitalistes extérieurs et intérieurs (chiites, sunnites, kurdes, chrétiens, juifs…), les plus riches du monde entier font partie de l’Etat et ils sont tous unis pour exploiter l’humanité, donc la lutte prolétarienne est sans aucun doute une lutte unie contre eux tous…

Le prolétariat militant ne permet à personne de le représenter, il n’a pas de revendications et ne négocie pas. Il n’est attaché à aucun programme politique… Cette rébellion n’est-elle pas une profonde lutte de classe contre le système capitaliste dans son ensemble ? Le seul programme du prolétariat, c’est sa détermination à poursuivre et à diriger la lutte unifiée contre la dictature du Capital et de l’Etat. « Nous sommes contre vous tous, et nous prenons tout. » C’est l’autonomie de la classe et la force de la lutte de notre mouvement… Et donc, il n’est pas facile pour l’Etat d’éteindre ou d’éradiquer ce mouvement. Le prolétariat n’est pas dans une situation d’attente ou de dépression…

Depuis le début du mouvement et jusqu’à présent, même avec la répression massive et les assassinats de l’Etat contre lui, ce mouvement continue et il étend jour après jour la portée de ses luttes et de ses tactiques. Par exemple, à Bagdad, le mouvement a formé des unités de combat et s’est répandu dans toute la ville pour interrompre la circulation, et prendre le contrôle des ponts et des points importants. Il a mis en place ses activités collectives de coordination pour étendre et élargir sa lutte afin de planifier le lendemain et la cible suivante, il a publié des tracts sur sa lutte et il a soigné les camarades blessés… tout cela, c’est la coordination, l’organisation et l’expansion de leur capacité de lutte. Les luttes prolétariennes du passé ont toujours pris leur énergie les unes des autres. C’est ainsi que la lutte continue et assume ses intérêts de classe et son internationalisme. En brisant les frontières géographiques, les cadres idéologiques, économiques et démocratiques ainsi que l’Etat national… ce mouvement cible le Capital et le capitalisme mondial.

Et aujourd’hui, c’est exactement la même lutte qui existe dans la réalité. Le prolétariat d’aujourd'hui (d’Haïti, de France, de Hong Kong, d’Egypte, d’Amérique latine, du Liban, d’Irak et d’Iran) est dans la même lutte, nous combattons le même ennemi, nous avons les mêmes intérêts et le même espoir : le renversement du capitalisme et la réalisation de la communauté de vie humaine sans travail salarié, exploitation, profit, Capital, travail, pollution, injustice, guerres et destruction. Cette lutte prolétarienne n’est pas une lutte « anarchiste », ni une lutte « socialiste », ni une lutte pour le pouvoir démocratique, ni pour l’Etat national – c’est une lutte révolutionnaire, de classe et internationale contre la dictature capitaliste sur la vie (sur la Terre)… C’est une lutte pour libérer la vie de toute forme d’esclavage humain… Si aujourd’hui de jeunes militants sont sortis dans la rue et qu’ils prennent l’initiative dans la lutte et y participent activement, c’est quelque chose de naturel !

Parce que cette génération, tout en fuyant quotidiennement la catastrophe du capital, rêve de la vie. Ce sont eux qui n’ont aucune stabilité dans la vie… Ce qu’ils ont aujourd’hui ne durera peut-être pas jusqu’à demain. Ce qu’ils ressentent était proche d’eux aujourd’hui, demain semble très lointain. L’avidité du capitalisme, ses guerres et ses catastrophes successives les ont laissés dans une lutte constante. Cette situation s’intensifie de plus en plus au niveau mondial et devient un enfer qui pousse le prolétariat dans la lutte… Leur lutte est une lutte de la vie contre cet enfer capitaliste. Les prolétaires dans la lutte comprennent le capitalisme et sa catastrophe et ils se sentent vivants et heureux dans leur lutte pour la vie. La lutte prolétarienne est la lutte de la classe exploitée contre le capitalisme mondial. C’est une lutte pour la vie, contre l’exploitation et les rapports mortels du Capital mondial. Le prolétariat continue à lutter : de la France au Liban, de l’Irak au Chili, de Hong Kong à l’Iran… et il fait appel à toutes les autres régions voisines où il est possible de s’unir et de coordonner des actions de classe dans cette lutte contre le capitalisme. Dans notre région, la participation du prolétariat en Turquie, en Israël et en Iran… bloque les possibilités de la guerre capitaliste et pousse notre guerre de classe internationale vers une meilleure perspective.

À bas l’exploitation et l’oppression… À bas la guerre… À bas le capitalisme…

Pour la poursuite de la lutte des classes dans le monde entier

Des camarades de la lutte internationale Prolétaires internationalistes Moyen-Orient

Novembre 2019 Communication internationale et camarade : internationalist@riseup.net

LE DIESEL EST LOIN DERRIÈRE

NON À LA DICTATURE SANITAIRE

 Ils ont réussi... à nous imposer, en quelques jours seulement, des conditions de survie dignes d’un état totalitaire... avec le consentement et la participation de bon nombre d’entre nous ! Ils ont réussi... à imposer très rapidement des directives mondiales à une grande partie des états nationaux qui les ont appliquées en bon valets du capitalisme. Ils ont réussi... à nous effrayer avec un virus relativement inoffensif pour les personnes en relative bonne santé, à entretenir la peur alors qu’il est très clair que le stress diminue nos défenses immunitaires. Ils ont réussi... à nous persuader que le danger est énorme puisque les mesures pour, soi-disant l’endiguer, sont gigantesques. Ils ont réussi... à jouer avec les chiffres de la mortalité liée au coronavirus pour maintenir le climat anxiogène qui nous paralyse. Ils ont réussi... à nous faire penser que les mesures de confinement sont totalement désintéressées puisque mettre l’économie à l’arrêt n’est pas une mesure que prennent habituellement les capitalistes. Ils ont réussi... à éviter qu’on ne fasse le lien avec la crise financière, inégalée dans l’histoire, qui se profilait dans un avenir très proche. Ils ont réussi... à stopper net les mouvements sociaux qui menaçaient leur pouvoir dans de nombreuses régions du monde. Ils ont réussi... à confiner/sacrifier la solidarité qui était née sur les lieux de luttes tout en promotionnant la « solidarité » envers ceux et celles qui travailleraient pour « la bonne cause ». Ils ont réussi... à détourner notre attention des vraies causes de mortalité attribuées au Covid 19 : la pollution, la malbouffe, la vaccination, la 5G... Ils ont réussi... à arrêter une bonne part de la production empêchant par là les plus fragiles économiquement de subvenir à leurs besoins élémentaires pour survivre. Ils ont réussi... à faire croire que nous étions en guerre contre un ennemi invisible pour détourner notre regard des ennemis bien visibles : les oligarques, les financiers... et leurs chiens de garde. Ils ont réussi... à créer la panique en nous inondant d’images de services hospitaliers surchargés, ce qu’ils se gardaient bien de faire lors de grippes saisonnières, et sans montrer ceux qui tournent comme à l’ordinaire. Ils ont réussi... à créer la pénurie de matériel et de personnel médical à certains endroits pour renforcer le sentiment d’impuissance dans la population. Ils ont réussi... à confiner une bonne partie de la population mondiale, non seulement les personnes à risque, ce qui peut avoir du sens, mais également les personnes qui ne risquent rien. Ils ont réussi... à empêcher une bonne partie de la population en bonne santé de faire les anticorps pour pouvoir leur imposer le vaccin qu’ils nous préparent. Ils ont réussi... à persuader les familles que pour protéger leurs enfants il fallait les enfermer. Ils ont réussi... à persuader les familles que pour protéger leurs anciens il ne fallait plus les voir. Ils ont réussi... à imposer des mesures anti-vie en faisant croire que la vie était le bien le plus précieux. Ils ont réussi... à imposer des « distances sociales » comme si la proximité d’un être humain était mauvais pour la santé. Ils ont réussi... à nous habituer à communiquer virtuellement, à ne plus nous déplacer parce que, en plus, ce serait bon pour la planète. Ils ont réussi... à nous faire accepter de prendre des « mesures barrières » pour nous habituer à vivre derrière des barrières. Ils ont réussi... à interdire de s’étendre au soleil sur l’herbe des parcs comme si c’était prendre un risque pour la collectivités. Ils ont réussi... à nous habituer à des mesures de surveillances totalitaires et à encourager la surveillance des voisins, à promouvoir la délation. Ils ont réussi... à faire croire que le virus est une réponse de la nature qui remet l’homme en question et non le rapport social dominant sur la planète. Ils ont réussi... à nous rendre impuissants et à ce qu’on espère qu’une chose : c’est qu’ils trouvent un remède à la panique que leur système a créé. Ils ont réussi... à faire estimer qu’un vaccin serait la seule possibilité de protéger l’humanité contre ce coronavirus... et les autres qui vont « inévitablement » arriver. Ils ont réussi... à nous en remettre aux avis des experts mais, bien sûr, uniquement ceux et celles qui abondent dans le sens dicté en haut lieu. Ils ont réussi... à nous faire croire que le problème n’est que sanitaire alors qu’il y a, à l’évidence, anguille sous le pangolin. Ils ont réussi... à préparer le terrain pour garantir que toute analyse qui pourraient voir des collusions d’intérêt dans les gestionnaires de la « crise » serait rejetée par l’anathème « complotiste ». Ils ont réussi... à faire croire que « le crime » ne profitait à personne. Ils ont réussi, plus que jamais, à nous intoxiquer, à nous aseptiser, à nous angoisser, à nous alarmer, à nous isoler, à nous réprimer, à nous bâillonner... Ils ont gagné la première manche et ils nous en préparent une seconde. Ils pensent avoir réussi à nous faire taire mais ce n’est que temporaire. Préparons la riposte ! un párrafo. Haz clic aquí para añadir tu propio texto y modificarme. 

“De Bagdad à Beyrouth, pas de chiites ni de sunnites, continuons la lutte”

 Le gouvernement irakien est composé de toutes les fractions bourgeoises en Irak, et il est accepté par les forces régionales et la bourgeoisie mondiale, mais le prolétariat a essayé de le faire tomber… La « Zone Verte » de Bagdad est le centre du capitalisme mondial, le prolétariat a essayé de l’occuper et a perdu beaucoup de vies pour cela… Le port de Bassora est un couloir mondial pour les exportations de pétrole et le commerce international et le prolétariat l’a bloqué, et il a essayé de le contrôler. La police, les forces de sécurité, les forces spéciales et les forces militaires irakiennes sont celles du capitalisme mondial (avec la participation de la bourgeoisie chiite, sunnite, chrétienne, kurde, turkmène, avec un grand nombre de forces régionales et internationales, dont des troupes américaines et européennes, turques, iraniennes, etc.), mais le prolétariat les a attaquées, ainsi que ses centres et ses détachements dans les rues et jusqu’à 650 prolétaires ont été tués par elles et plus de 20 000 blessés (sans parler du nombre d’enlèvements et d’emprisonnements…). Le prolétariat dans toutes les régions rebelles d’Irak a incendié les sièges des partis politiques (religieux et nationaux sans exception), ils ont incendié les maisons des membres du parlement et des fonctionnaires de l’Etat et attaqué également des postes de police et des forces de sécurité, les médias, les institutions judiciaires et le ministère de la Justice, les journaux et les chaînes de télévision… En agissant de la sorte, le prolétariat attaque l’Etat dans son ensemble. Selon le Premier ministre Adil Abd al-Mahdi, ce mouvement a détruit l’économie nationale (le capitalisme) sous tous ses aspects. Le prolétariat, dans sa lutte, a mené des attaques sans aucune exclusive, contre tous les symboles, toutes les personnes, toutes les bases, quelles qu’elles soient, attachées à l’histoire de l’autorité et de la répression, y compris les institutions militaires et diplomatiques, les centres commerciaux et les services secrets, tant internes qu’externes. Toutes les attaques contre les forces répressives des Pasdaran dans la ville de Karbala ne sont pas vraiment anti-iraniennes comme l’ont dit les médias, mais elles font partie de l’action de classe contre les forces répressives et leurs centres sous toutes leurs formes, tout comme l’attaque contre la Zone verte et d’autres endroits. N’est-il pas clair d’après l’action unitaire prolétarienne et ses slogans : « A bas tous les voleurs », « De Bagdad à Beyrouth, pas de chiites ni de sunnites », « Pas de pays, pas de travail, nous restons tous dans la rue », « Pas de pays, pas de travail avant la chute du système » – que le prolétariat vise la contre-révolution dans sa totalité, tout comme il le fit à Bassora en septembre 2018 !? La bourgeoisie a toujours essayé de déformer le terrain de classe de notre mouvement révolutionnaire. Ils ont eu recours à diverses méthodes pour vider le contenu révolutionnaire de notre lutte, ils ont construit des complots et nous traitent de tous les noms. Tout cela pour dissimuler la répression sanglante et la destruction de notre mouvement révolutionnaire dans des conflits bourgeois. Le prolétariat s’est soulevé sur le plan social contre tous les exploiteurs et il entend mettre fin à tout leur pouvoir. Le prolétariat comprend très bien que les capitalistes extérieurs et intérieurs (chiites, sunnites, kurdes, chrétiens, juifs…), les plus riches du monde entier font partie de l’Etat et ils sont tous unis pour exploiter l’humanité, donc la lutte prolétarienne est sans aucun doute une lutte unie contre eux tous… Le prolétariat militant ne permet à personne de le représenter, il n’a pas de revendications et ne négocie pas. Il n’est attaché à aucun programme politique… Cette rébellion n’est-elle pas une profonde lutte de classe contre le système capitaliste dans son ensemble ? Le seul programme du prolétariat, c’est sa détermination à poursuivre et à diriger la lutte unifiée contre la dictature du Capital et de l’Etat. « Nous sommes contre vous tous, et nous prenons tout. » C’est l’autonomie de la classe et la force de la lutte de notre mouvement… Et donc, il n’est pas facile pour l’Etat d’éteindre ou d’éradiquer ce mouvement. Le prolétariat n’est pas dans une situation d’attente ou de dépression… Depuis le début du mouvement et jusqu’à présent, même avec la répression massive et les assassinats de l’Etat contre lui, ce mouvement continue et il étend jour après jour la portée de ses luttes et de ses tactiques. Par exemple, à Bagdad, le mouvement a formé des unités de combat et s’est répandu dans toute la ville pour interrompre la circulation, et prendre le contrôle des ponts et des points importants. Il a mis en place ses activités collectives de coordination pour étendre et élargir sa lutte afin de planifier le lendemain et la cible suivante, il a publié des tracts sur sa lutte et il a soigné les camarades blessés… tout cela, c’est la coordination, l’organisation et l’expansion de leur capacité de lutte. Les luttes prolétariennes du passé ont toujours pris leur énergie les unes des autres. C’est ainsi que la lutte continue et assume ses intérêts de classe et son internationalisme. En brisant les frontières géographiques, les cadres idéologiques, économiques et démocratiques ainsi que l’Etat national… ce mouvement cible le Capital et le capitalisme mondial. Et aujourd’hui, c’est exactement la même lutte qui existe dans la réalité. Le prolétariat d’aujourd'hui (d’Haïti, de France, de Hong Kong, d’Egypte, d’Amérique latine, du Liban, d’Irak et d’Iran) est dans la même lutte, nous combattons le même ennemi, nous avons les mêmes intérêts et le même espoir : le renversement du capitalisme et la réalisation de la communauté de vie humaine sans travail salarié, exploitation, profit, Capital, travail, pollution, injustice, guerres et destruction. Cette lutte prolétarienne n’est pas une lutte « anarchiste », ni une lutte « socialiste », ni une lutte pour le pouvoir démocratique, ni pour l’Etat national – c’est une lutte révolutionnaire, de classe et internationale contre la dictature capitaliste sur la vie (sur la Terre)… C’est une lutte pour libérer la vie de toute forme d’esclavage humain… Si aujourd’hui de jeunes militants sont sortis dans la rue et qu’ils prennent l’initiative dans la lutte et y participent activement, c’est quelque chose de naturel ! Parce que cette génération, tout en fuyant quotidiennement la catastrophe du capital, rêve de la vie. Ce sont eux qui n’ont aucune stabilité dans la vie… Ce qu’ils ont aujourd’hui ne durera peut-être pas jusqu’à demain. Ce qu’ils ressentent était proche d’eux aujourd’hui, demain semble très lointain. L’avidité du capitalisme, ses guerres et ses catastrophes successives les ont laissés dans une lutte constante. Cette situation s’intensifie de plus en plus au niveau mondial et devient un enfer qui pousse le prolétariat dans la lutte… Leur lutte est une lutte de la vie contre cet enfer capitaliste. Les prolétaires dans la lutte comprennent le capitalisme et sa catastrophe et ils se sentent vivants et heureux dans leur lutte pour la vie. La lutte prolétarienne est la lutte de la classe exploitée contre le capitalisme mondial. C’est une lutte pour la vie, contre l’exploitation et les rapports mortels du Capital mondial. Le prolétariat continue à lutter : de la France au Liban, de l’Irak au Chili, de Hong Kong à l’Iran… et il fait appel à toutes les autres régions voisines où il est possible de s’unir et de coordonner des actions de classe dans cette lutte contre le capitalisme. Dans notre région, la participation du prolétariat en Turquie, en Israël et en Iran… bloque les possibilités de la guerre capitaliste et pousse notre guerre de classe internationale vers une meilleure perspective. À bas l’exploitation et l’oppression… À bas la guerre… À bas le capitalisme… Pour la poursuite de la lutte des classes dans le monde entier Des camarades de la lutte internationale Prolétaires internationalistes Moyen-Orient Novembre 2019 

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