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1er mai 2024

 

Contre le génocide et les guerres sans fin de la Gouvernance Mondiale du Capital et de tous ses plans et agendas !

 

La déclaration de guerre contre les pauvres, en 2020, sous prétexte de plandémie a décapité la plus grande vague de protestations sociales de l’histoire de l’humanité. L’état de guerre, le confinement, la distanciation sociale, la mobilisation, la miliarisation, l’inoculation, les guerres inter-impérialistes, le terrorisme d’État... non seulement ont fait exploser l’activité militante de centaines de milliers de combattants, mais ont harcelé de manière belliqueuse la grande majorité de l’humanité exploitée, produisant des millions de morts, d’invalides et d’atrofiés... La guerre de la Valeur contre l’humanité n’a jamais atteint les niveaux suprêmes que nous avons connus au cours de ces 4 dernières années, non seulement en détruisant des vies, mais en détruisant fondamentalement, et de manière persistante, les activités humaines de toutes sortes... Non seulement ils ont brisé en grand nombre l’associationnisme prolétarien qui s’était grandement développé au cours de la dernière décennie dans d’intenses combats de rue… mais ils ont détruit aussi tous les secteurs dédiés à la production alimentaire (non contrôlée par l’aristocratie financière !), accusée d’être responsable du changement climatique et de la destruction de la planète Terre elle-même.

 

La production de valeurs par les Banques Centrales, par et pour leurs propriétaires, a pour contrepartie planifié la destruction de la vie des pauvres (ce que l’agenda 2030 des Nations Unies appelle la « guerre contre la pauvreté »), la ruine de l’agriculture et de l’élevage, la diminution systématique de la production de services et de nourriture pour la majorité de la population mondiale… se conformant ainsi au dépeuplement de la planète ouvertement prôné par les organisations de la bankocratie (Forum Economique Mondial, OMS, FMI...) ainsi que par ses structures privées internationales de l’Etat profond (services de renseignement, Club Bilderberg, agences d’information et de propagande...).

 

En ce jour historique, où nous commémorons la lutte prolétarienne contre le capital et le travail, la lutte contre le Plan de destruction de la vie humaine continue de s’étendre à tous les pays du monde : la lutte contre la faim est la même lutte des « paysans » et des « agriculteurs » contre le Plan de destruction du capitalisme mondial qui, à l’occasion de ce nouvel anniversaire, continue de se développer sur tous les continents. Et en même temps, c’est la même lutte révolutionnaire défaitiste des prolétaires du monde entier contre « leur » bourgeoisie et « leur » État national qui mène la guerre impérialiste, qui est en même temps une guerre contre l’humanité.

 

En effet, nous ne pouvons oublier que toutes les guerres et tous les massacres locaux font partie de la guerre du capital contre l’humanité. Pas seulement ces dernières années, mais dans toute l’histoire. Le capital a toujours utilisé les guerres entre factions pour détourner et canaliser la lutte des exploités contre l’exploitation. Si les révolutionnaires ont toujours cherché la transformation de la guerre entre fractions bourgeoises (guerre impérialiste) en guerre entre classes, vers la révolution sociale (transformation de la guerre impérialiste en guerre sociale révolutionnaire), l’aristocratie financière, en tant que chef d’orchestre du capital mondial, a toujours (manipulé et) exacerbé les luttes entre fractions bourgeoises afin d’intégrer le prolétariat dans l’une ou l’autre de ces bandes en présence... affirmant ainsi la dictature générale du capital et son pouvoir ploutocratique, quel que soit le camp impérialiste qui triomphe.

 

Face à la vague de protestations contre la dictature du Gouvernement Mondial qui, depuis le début de l’année 2024, continue de se répandre dans le monde entier, rien ne pourrait être plus « normal » que ceux qui défendent le capital mondial tentent, une fois de plus, de transformer la lutte de classe historique en guerre impérialiste, comme ils l’ont fait dans les mal nommées « Première » et « Deuxième » guerres mondiales. C’est pourquoi ils continuent de s’organiser et de financer massacres et génocides sur tous les continents, comme lors des mal nommées Première et Seconde guerres mondiales.

 

Ceux qui dirigent le monde savent parfaitement qu’ils ne peuvent pas arrêter les protestations des prolétaires du monde entier contre leurs plans génocidaires, et c’est pourquoi ils visent avec toutes leurs forces financières, idéologiques et militaires au développement des guerres impérialistes. Les guerres infinies sont l’arme contre-insurrectionnelle la plus puissante.

 

Le capitalisme n’a jamais été aussi proche de la destruction de toute l’humanité !

 

Nous ne pouvons empêcher cela qu’avec l’organisation internationaliste et révolutionnaire de la résistance humaine !

 

Pour la destruction révolutionnaire de « ton » propre gouvernement et de « ton » propre État !

 

Pour la révolution sociale détruisant le Nouvel Ordre Mondial du Capital !

 

Prolétaires Internationalistes

 

https://proletariosinternacionalistas.kilombo.top/

https://www.proletariosinternacionalistas.com/

 

LA PANDEMIE N’EXISTE PAS !

C’est un gros mensonge d’État pour nous rendre esclaves, soumis, contrôlés, fliqués, bancarisés...

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Quand ils nous ont confinés pour notre bien, je n’ai rien dit, je n’étais pas complotiste.

Quand ils nous ont empêché de sortir, je n’ai rien fait, je n’étais pas complotiste.

Quand ils nous ont imposé le vaccin, je l’ai accepté, je n’étais pas complotiste.

Quand mes voisins l’ont refusé, je n’ai pas bougé, ils étaient complotistes.

Quand j’ai vu le complot, il ne restait plus personne pour s’opposer.

(Librement inspiré d’un texte connu)

“De Bagdad à Beyrouth, pas de chiites ni de sunnites, continuons la lutte”

Le gouvernement irakien est composé de toutes les fractions bourgeoises en Irak, et il est accepté par les forces régionales et la bourgeoisie mondiale, mais le prolétariat a essayé de le faire tomber…

La « Zone Verte » de Bagdad est le centre du capitalisme mondial, le prolétariat a essayé de l’occuper et a perdu beaucoup de vies pour cela… Le port de Bassora est un couloir mondial pour les exportations de pétrole et le commerce international et le prolétariat l’a bloqué, et il a essayé de le contrôler. La police, les forces de sécurité, les forces spéciales et les forces militaires irakiennes sont celles du capitalisme mondial (avec la participation de la bourgeoisie chiite, sunnite, chrétienne, kurde, turkmène, avec un grand nombre de forces régionales et internationales, dont des troupes américaines et européennes, turques, iraniennes, etc.), mais le prolétariat les a attaquées, ainsi que ses centres et ses détachements dans les rues et jusqu’à 650 prolétaires ont été tués par elles et plus de 20 000 blessés (sans parler du nombre d’enlèvements et d’emprisonnements…).

Le prolétariat dans toutes les régions rebelles d’Irak a incendié les sièges des partis politiques (religieux et nationaux sans exception), ils ont incendié les maisons des membres du parlement et des fonctionnaires de l’Etat et attaqué également des postes de police et des forces de sécurité, les médias, les institutions judiciaires et le ministère de la Justice, les journaux et les chaînes de télévision… En agissant de la sorte, le prolétariat attaque l’Etat dans son ensemble.

Selon le Premier ministre Adil Abd al-Mahdi, ce mouvement a détruit l’économie nationale (le capitalisme) sous tous ses aspects. Le prolétariat, dans sa lutte, a mené des attaques sans aucune exclusive, contre tous les symboles, toutes les personnes, toutes les bases, quelles qu’elles soient, attachées à l’histoire de l’autorité et de la répression, y compris les institutions militaires et diplomatiques, les centres commerciaux et les services secrets, tant internes qu’externes.

Toutes les attaques contre les forces répressives des Pasdaran dans la ville de Karbala ne sont pas vraiment anti-iraniennes comme l’ont dit les médias, mais elles font partie de l’action de classe contre les forces répressives et leurs centres sous toutes leurs formes, tout comme l’attaque contre la Zone verte et d’autres endroits.

N’est-il pas clair d’après l’action unitaire prolétarienne et ses slogans : « A bas tous les voleurs », « De Bagdad à Beyrouth, pas de chiites ni de sunnites », « Pas de pays, pas de travail, nous restons tous dans la rue », « Pas de pays, pas de travail avant la chute du système » – que le prolétariat vise la contre-révolution dans sa totalité, tout comme il le fit à Bassora en septembre 2018 !?

La bourgeoisie a toujours essayé de déformer le terrain de classe de notre mouvement révolutionnaire. Ils ont eu recours à diverses méthodes pour vider le contenu révolutionnaire de notre lutte, ils ont construit des complots et nous traitent de tous les noms. Tout cela pour dissimuler la répression sanglante et la destruction de notre mouvement révolutionnaire dans des conflits bourgeois.

Le prolétariat s’est soulevé sur le plan social contre tous les exploiteurs et il entend mettre fin à tout leur pouvoir. Le prolétariat comprend très bien que les capitalistes extérieurs et intérieurs (chiites, sunnites, kurdes, chrétiens, juifs…), les plus riches du monde entier font partie de l’Etat et ils sont tous unis pour exploiter l’humanité, donc la lutte prolétarienne est sans aucun doute une lutte unie contre eux tous…

Le prolétariat militant ne permet à personne de le représenter, il n’a pas de revendications et ne négocie pas. Il n’est attaché à aucun programme politique… Cette rébellion n’est-elle pas une profonde lutte de classe contre le système capitaliste dans son ensemble ? Le seul programme du prolétariat, c’est sa détermination à poursuivre et à diriger la lutte unifiée contre la dictature du Capital et de l’Etat. « Nous sommes contre vous tous, et nous prenons tout. » C’est l’autonomie de la classe et la force de la lutte de notre mouvement… Et donc, il n’est pas facile pour l’Etat d’éteindre ou d’éradiquer ce mouvement. Le prolétariat n’est pas dans une situation d’attente ou de dépression…

Depuis le début du mouvement et jusqu’à présent, même avec la répression massive et les assassinats de l’Etat contre lui, ce mouvement continue et il étend jour après jour la portée de ses luttes et de ses tactiques. Par exemple, à Bagdad, le mouvement a formé des unités de combat et s’est répandu dans toute la ville pour interrompre la circulation, et prendre le contrôle des ponts et des points importants. Il a mis en place ses activités collectives de coordination pour étendre et élargir sa lutte afin de planifier le lendemain et la cible suivante, il a publié des tracts sur sa lutte et il a soigné les camarades blessés… tout cela, c’est la coordination, l’organisation et l’expansion de leur capacité de lutte. Les luttes prolétariennes du passé ont toujours pris leur énergie les unes des autres. C’est ainsi que la lutte continue et assume ses intérêts de classe et son internationalisme. En brisant les frontières géographiques, les cadres idéologiques, économiques et démocratiques ainsi que l’Etat national… ce mouvement cible le Capital et le capitalisme mondial.

Et aujourd’hui, c’est exactement la même lutte qui existe dans la réalité. Le prolétariat d’aujourd'hui (d’Haïti, de France, de Hong Kong, d’Egypte, d’Amérique latine, du Liban, d’Irak et d’Iran) est dans la même lutte, nous combattons le même ennemi, nous avons les mêmes intérêts et le même espoir : le renversement du capitalisme et la réalisation de la communauté de vie humaine sans travail salarié, exploitation, profit, Capital, travail, pollution, injustice, guerres et destruction. Cette lutte prolétarienne n’est pas une lutte « anarchiste », ni une lutte « socialiste », ni une lutte pour le pouvoir démocratique, ni pour l’Etat national – c’est une lutte révolutionnaire, de classe et internationale contre la dictature capitaliste sur la vie (sur la Terre)… C’est une lutte pour libérer la vie de toute forme d’esclavage humain… Si aujourd’hui de jeunes militants sont sortis dans la rue et qu’ils prennent l’initiative dans la lutte et y participent activement, c’est quelque chose de naturel !

Parce que cette génération, tout en fuyant quotidiennement la catastrophe du capital, rêve de la vie. Ce sont eux qui n’ont aucune stabilité dans la vie… Ce qu’ils ont aujourd’hui ne durera peut-être pas jusqu’à demain. Ce qu’ils ressentent était proche d’eux aujourd’hui, demain semble très lointain. L’avidité du capitalisme, ses guerres et ses catastrophes successives les ont laissés dans une lutte constante. Cette situation s’intensifie de plus en plus au niveau mondial et devient un enfer qui pousse le prolétariat dans la lutte… Leur lutte est une lutte de la vie contre cet enfer capitaliste. Les prolétaires dans la lutte comprennent le capitalisme et sa catastrophe et ils se sentent vivants et heureux dans leur lutte pour la vie. La lutte prolétarienne est la lutte de la classe exploitée contre le capitalisme mondial. C’est une lutte pour la vie, contre l’exploitation et les rapports mortels du Capital mondial. Le prolétariat continue à lutter : de la France au Liban, de l’Irak au Chili, de Hong Kong à l’Iran… et il fait appel à toutes les autres régions voisines où il est possible de s’unir et de coordonner des actions de classe dans cette lutte contre le capitalisme. Dans notre région, la participation du prolétariat en Turquie, en Israël et en Iran… bloque les possibilités de la guerre capitaliste et pousse notre guerre de classe internationale vers une meilleure perspective.

À bas l’exploitation et l’oppression… À bas la guerre… À bas le capitalisme…

Pour la poursuite de la lutte des classes dans le monde entier

Des camarades de la lutte internationale Prolétaires internationalistes Moyen-Orient

Novembre 2019 Communication internationale et camarade : internationalist@riseup.net

LE DIESEL EST LOIN DERRIÈRE

NON À LA DICTATURE SANITAIRE